L’objectif de l’étude est d’accompagner la commune de Portiragnes dans une démarche visant à mener à bien l’élaboration de son projet de valorisation et de développement du bourg centre en s’appuyant sur :
Cette étude stratégique consiste à accompagner la Commune de Coursan en vue de son inscription dans la politique Régionale en faveur des « Bourgs-Centres – Occitanie / Pyrénées-Méditerranée » qui vise à :
Le centre médiéval de Narbonne est constitué de deux entités séparées par le canal de la Robine : Cité, dont l’organisation orthogonale suit le tracé de la ville romaine traversée par la Via Domitia et sur l’autre rive, lui faisant face, Bourg, plus labyrinthique et enclavé par des bâtiments singuliers de la ville.
Malgré une forte mobilisation publique et des interventions de la collectivité entamées dès les années 60 qui ont permis de soutenir sa revitalisation, ce cœur de ville, d’environ 4.600 hab, concentre aujourd’hui un certain nombre de difficultés : logements de petites tailles avec une vacance en très nette progression, morcellement des grands appartements, immeubles en mauvais état, majorité de résidences principales en location. Ces caractéristiques de l’habitat destinent majoritairement le parc de logements à des personnes seules ou sans enfants, aux revenus modestes, voire bas et un taux de pauvreté très préoccupant. Bien que les services sociaux soient très présents dans ces quartiers, qui présentent par ailleurs de grandes qualités spatiales et architecturales, on constate une dégradation de la situation.
L’objectif de cette Assistance à Maitrise d’Ouvrage pour l’élaboration de la convention Action Cœur de Ville est de permettre à la Ville de Narbonne de se munir d’un projet par un travail consistant à :
L’étude a pour but, d’une part d’organiser la mise en œuvre d’un partenariat de projet, et d’autre part, d’agir sur les fonctions de centralité et l’attractivité de la Commune de Ganges vis-à-vis de son bassin de vie, dans les domaines suivants :
L’ensemble s’inscrit dans une démarche transversale de transition écologique et énergétique.
Cette expertise s’accompagne d’un processus de concertation avec les habitants. L’objectif est, qu’à l’issue de l’étude, la collectivité puisse disposer, d’un document complet, synthétique, didactique et illustré permettant de trouver aisément les éléments saillant d’un projet de territoire.
Cette étude vise à évaluer la faisabilité d’aménagements qui se situeraient dans le cœur du village, en bordure du centre ancien et à l’articulation entre village historique et quartier résidentiel, le long du cours d’eau au bord duquel sont implantés les équipements publics.
Ces aménagements doivent comprendre une place de village pouvant accueillir le marché, la mise en valeur des commerces existants, la création de logements, la rationalisation des stationnements.
Ce propos avait été abordé au cours de l’étude urbaine préalable, qui proposait sur ces lieux des principes d’organisation et d’implantation topographique.
Il s’est donc agit de s’inscrire dans la continuité de ces principes et de :
La ville d’Agde souhaite valoriser son patrimoine et son histoire. Dans cette dynamique, elle a lancé cette étude de requalification des espaces publics et entrées du quartier.
L’étude s’inscrit dans une perspective large, initiée dans le cadre du NPNRU, qui vise à définir des actions au niveau opérationnel afin d’offrir des espaces publics de proximité favorisant la citoyenneté et le lien social dans le respect de la structure urbaine et du patrimoine architectural ainsi que d’améliorer les entrées du quartier ancien.
L’étude entre dans le dispositif de valorisation et de développement des bourgs centres de la Région Occitanie. L’objectif est d’accompagner le SYDEL du Pays Cœur d’Hérault dans cette démarche par une expertise visant à mener à bien :
– l’élaboration de huit projets de Valorisation et de Développement des pôles de services de proximité du Pays Cœur d’Hérault,
– l’élaboration du projet de valorisation et de développement du bourg centre de Saint André de Sangonis,
– l’élaboration du projet de valorisation et de développement du pôle de Clermont l’Hérault et des communes de la plaine de l’Hérault,
– la définition d’une vision prospective du pôle de Gignac – Saint André de Sangonis.
Cette expertise s’accompagne pour chacune des communes d’un processus de concertation qui prend des formes différentes et s’ajuste aux besoins. L’objectif est, qu’à l’issue de l’étude, les collectivités puissent disposer, d’un document complet, synthétique, didactique et illustré permettant de trouver aisément les éléments saillant d’un projet de territoire.
L’étude urbaine porte sur la déclinaison spatiale de la stratégie de développement et de son plan d’actions, l’évaluation des capacités de densification/mutation urbaine de Mauguio, l’étude de la requalification de la station de Carnon.
L’étude vise donc à définir une vision d’ensemble cohérente, pour Mauguio et pour Carnon, et à les décliner par des actions au niveau opérationnel.
Les problématiques urbaines qui se posent aujourd’hui sur ce territoire sont de natures très différentes et si l’on raisonne spatialement, deux sujets sont concernés par cette consultation :
1/ le premier intéresse la ville de Mauguio et sa capacité d’intensification urbaine au sein du périmètre bâti actuel, en préservant les espaces agricoles et naturels qui l’entourent,
2/ le second porte sur Carnon et implique divers domaines qui devront être questionnés au regard des enjeux environnementaux, notamment en termes d’évolution climatique et de recul des plages : stratégie territoriale et identité de la station, programmation, qualité et mise en valeur des espaces publics et bâtis, amélioration des fonctionnalités urbaines, liens aux milieux naturels.
L’étude vise à définir des actions au niveau opérationnel afin d’améliorer la qualité de vie des habitants, retrouver une attractivité résidentielle et économique, offrir des espaces publics de proximité favorisant la citoyenneté et le lien social, tout en répondant à des problématiques actuelles d’un point de vue énergétique et de développement durable.
Le travail doit permettre de :
Afin de rendre ce projet urbain tangible et partagé, la mission comporte une prestation de concertation.
Dans le cadre du protocole de préfiguration du NPNRU, l’étude lancée par la Ville de Perpignan vise, en articulation avec la révision du Secteur Sauvegardé, à définir des actions au niveau opérationnel afin d’accompagner les publics les plus en difficulté du quartier, à améliorer la qualité de vie des habitants, à retrouver une attractivité résidentielle et économique par une nouvelle offre de commerce, à offrir des espaces publics de proximité favorisant la citoyenneté et le lien social, tout en répondant à des problématiques actuelles d’un point de vue énergétique et de développement durable.
Le quartier St Jacques, au coeur de la ville de Perpignan, est un quartier d’habitat datant du XIVème siècle. Il est central, bien situé, à proximité des principaux équipements, commerces et espaces publics de la ville, et présente un intérêt certain d’un point de vue urbain (cohérence de l’ensemble) et architectural (immeubles et bâti intéressants).
Historiquement quartier de relégation sociale (emplacement de l’ancien hôpital des lépreux, ancien quartier juif), St Jacques continue aujourd’hui à souffrir d’une image dégradée, liée à l’état délabré du bâti et aux rues peu attractives.
Le périmètre retenu compte environ 6.000 habitants, appartenant majoritairement à la communauté gitane et, dans une moindre mesure, à la communauté maghrébine.
La communauté gitane commence à arriver dans le quartier St Jacques au XIXème siècle, mais c’est dans la seconde moitié du XXème siècle qu’elle s’y installe. Suite à un décret de l’Etat français lors de la seconde guerre mondiale interdisant le nomadisme, la population gitane investi la caserne St Jacques, désaffectée de ses fonctions militaires depuis 1928 et achète de vieilles maisons à des familles juives qui quittent la ville pour franchir les Pyrénées.
La population maghrébine, qui arrive en France pour faire face au besoin de main d’œuvre dans la construction, s’installe aussi dans ce quartier, accessible aux personnes ayant de faibles revenus.
Une partie importante de la population est aujourd’hui en grande difficulté sociale et le quartier concentre des problématiques liées à :
– des difficultés économiques, d’insertion professionnelle, de fort niveau de chômage, d’absentéisme scolaire,….
– une stigmatisation des communautés présentes,
– la présence significative d’un habitat ancien très vétuste, voire insalubre, avec dominante du parc locatif privé ayant conduit à une densification non maitrisée opérée par des marchands de sommeil peu scrupuleux,
– la présence d’immeubles et de petites copropriétés dégradés ou très dégradés dans une proportion importante, présentant de réels dangers de ruine,
– des espaces publics peu valorisés,
– généralement, un déficit d’image.
Ainsi, sur le périmètre d’intervention, il s’agit d’engager une démarche visant à :
– accompagner les habitants les plus en difficulté,
– favoriser l’ouverture sociale et urbaine,
– réhabiliter le parc privé vétuste et requalifier les îlots d’habitat les plus dégradés,
– remettre sur le marché des logements vacants rénovés,
– offrir tous les types de logements répondant au parcours résidentiel des ménages,
– améliorer la qualité de l’offre de logement, notamment au regard de la performance énergétique,
– réaliser des aménagements et équipements de proximité,
– requalifier les espaces publics, réduire la place et l’utilisation de la voiture, favoriser les piétons, notamment les plus âgés d’entre eux.