La place du 11 Novembre est à Cébazan un lieu important : dans le centre du village mais à l’écart de la traversée villageoise, elle constitue le parvis des écoles et des équipements sportifs, le lieu de stationnement de la mairie et l’espace dans lequel ont lieu les rencontres festives de la commune.
Cette mission d’esquisses visait à présenter un ré-aménagement répondant aux contraintes d’adaptation topographiques et de polyvalence d’usages.
Etudes visant à analyser l’opportunité d’opérations d’aménagement ou immobilières au stade faisabilité- esquisse, et à les illustrer en termes d’intention.
L’approche se fait en plusieurs phases :
– diagnostic- état des lieux du périmètre dans lequel s’inscrit le projet (recensement de l’ensemble des contraintes spécifiques du terrain d’assiette de l’opération, notamment urbanisme en lien avec les règlements en vigueur),
– faisabilité, soit d’une opération d’infrastructures (réaménagement-mutation-reconfiguration d’espaces publics), soit d’une opération immobilière sur une assiette foncière définie, soit sur une opération d’ensemble comprenant les deux,
– missions complémentaires : esquisse du parti d’aménagement, illustration du plan de composition d’ensemble, estimation sommaire au ratio du parti d’aménagement retenu, modélisation 3D d’une opération immobilière permettant d’illustrer la volumétrie, modélisation 3D d’une opération immobilière par insertion photographique du projet dans son environnement proche.
La municipalité de Valros souhaite réaménager un secteur central du village, en requalifiant la place de la République et en réadaptant les maisons de ville situées le long de la Grand rue. Cette réflexion passe par un diagnostic architectural des neuf maisons et des espaces publics attenants, puis par des propositions d’évolution de ces espaces, d’abord sous forme de scenarii puis d’approfondissement des solutions choisies.
Parmi les enjeux d’évolution de la ville de Lodève, et compte tenu de la prise de conscience de plus en plus prégnante des problématiques environnementales, aujourd’hui dans la perspective de la loi ZAN, le quartier des Carmes, inclut dans le Site Patrimonial Remarquable, revêt une importance particulière. Il bénéficie d’une localisation très intéressante, en entrée principale de la ville et jouxtant le centre ancien, auquel il est cependant peu relié. Contraint par la géographie entre la Lergue et le versant traversé par l’A750, il est bordé d’un front bâti et composé d’un tissu présentant des qualités certaines : une structure bâtie lisible, une variété typologique intéressante, des parcelles en friche, une présence végétale et un charme certain. Mais il souffre d’une ambiance routière, le stationnement y est très présent, les avenues de Fumel et Général de Gaulle, très circulées en tant qu’artères structurantes d’entrée de ville, sont assez pauvres du point de vue qualitatif des espaces publics.
Cette étude de faisabilité porte sur l’ilot des anciennes écoles. L’objectif est d’étudier les possibilités de réinvestissement de deux bâtiments (ancien Crédit Agricole et ancienne cave viticole), ainsi que la prise en compte des enjeux urbains et paysagers liés à l’opération. Le périmètre inclut le terrain communal et les RdC des anciennes écoles. L’EPF est partenaire de la commune est assure le portage financier des acquisitions des deux bâtiments.
La plaine dans laquelle se sont implantés le village ancien sur les premiers coteaux, puis, vers le sud et l’est, les lotissements et les grands équipements organisés de part et d’autre des voies structurantes d’accès au village orientées est/ouest et nord/sud.
Cet ensemble assez lisible possède de nombreux atouts :
– un centre ancien préservé et intéressant,
– un patrimoine de qualité,
– la présence de plusieurs espaces publics, d’échelles variées, qui ponctuent le village,
– de nombreux services et équipements.
Cependant, le village de Montarnaud d’abord implanté dans la plaine, est un territoire marqué par le relief et l’hydrographie qui en fait un village contraint où le peu de lieux de franchissement des cours d’eau existants sont des passages obligés. Résultant une traversée du village saturée.
En effet, le réseau de desserte étant très contraint par la géographie, notamment dans le centre ancien. Il a subi une saturation de circulation, particulièrement sur la place de la Fontaine, principalement aux heures d’entrée et sortie des écoles.
Outre le développement urbain inédit des dernières décennies, la croissance démographique de la commune a aussi pour conséquence la nécessité d’augmenter la capacité d’accueil des enfants dans les équipements communaux.
Un certain nombre d’aspects méritent ainsi d’être améliorés :
– la qualité de certains espaces publics, dans le vieux village, aux abords de certains équipements (école maternelle, crèche, collège, commerces), et dans les entrées de ville,
– le fonctionnement, avec une omniprésence des voitures et peu de place accordée aux modes doux,
– la lisibilité et la valorisation des lieux d’intérêt, commerces de proximité, écoles, …
Consciente de cette situation, la municipalité de Montarnaud souhaite aujourd’hui mener un travail de requalification de certains de ses espaces publics. Elle a, pour cela, réalisé récemment une étude de déplacements et souhaite à présent se munir d’un plan guide, qui s’appuiera sur les conclusions de cette étude et lui permettra définir les actions à mener, en les hiérarchisant et en en planifiant la mise en œuvre dans le temps.
Dans le cadre du dispositif Petites Villes de Demain pour lequel elle a été sélectionnée avec Gignac, la commune de Saint André de Sangonis souhaite aujourd’hui mener un travail de requalification de certains de ses espaces publics. Elle a besoin, pour cela, de se munir d’une étude de déplacements, mobilité et stationnement afin de dégager une vision claire de son fonctionnement pour pouvoir élaborer un plan guide et programmer les aménagements de ses espaces publics. Cette étude lui permettra donc de définir les actions à mener, en les hiérarchisant et en planifiant la mise en œuvre dans le temps.
Un plan guide proposera des orientations et préconisations qui devront intégrer des données techniques, environnementales et des préconisations paysagères. Ces schémas exprimeront des objectifs à atteindre en termes de qualité urbaine et de gestion durable des espaces publics.
Puis six périmètres de projet seront détaillés et leurs espaces publics feront l’objet d’une programmation précisant les enjeux et les principes d’aménagement à retenir, en termes d’usages, d’aménagement, de facilité de maintenance, de qualité environnementale.
La Commune de Jonquières, la plus petite du département en superficie (205 hectares) compte 550 habitants. Située aux portes des Gorges de l’Hérault, au carrefour des autoroutes A75/A750, à la croisée des RD 141 et D130 qui relient la plaine viticole au Causse du Larzac, le village, riche d’un patrimoine remarquable symbolisé par le château de Jonquières est marqué par sa forte identité viticole sur un terroir de qualité et un savoir-faire reconnu par les appellations Coteaux du Languedoc, Terrasses du Larzac et Saint Saturnin.
Aujourd’hui, le village possède un plan en « T », caractéristique des villages de plaine dont l’implantation de l’habitat est fonction des voies de communication qui les traversent : les maisons se répartissent le long de deux axes principaux. Paradoxalement ce qui est aujourd’hui appelé « cœur de village » par les habitants, s’est dans le temps, déporté d’une centralité initialement située devant du Château historique (dont les traces remontent au XIIème siècle) vers le Planol qui reste un lieu très dilaté, peu structuré par l’espace public et encombré par les voitures.
La présente étude est destinée à établir les orientations de programmation urbaine pour le secteur situé autour de la place du Planol, en lien avec la bibliothèque, l’école primaire et le foyer communal, et une possible création de parkings délestant le secteur étudié.
L’étude est décomposée en plusieurs phases : diagnostic et enjeux, scénarios, orientations d’aménagements et également une phase concertation avec les habitants, pour finir par une aide à l’établissement du dossier de faisabilité pour l’obtention de subventions.
Située à une quinzaine de kilomètres au nord-est de Montpellier, dans un territoire caractéristique de coteaux calcaires et de garrigue méditerranéenne, organisée autour d’un village et d’un château remarquable, la commune de Castries est concernée par la forte pression foncière qui s’exerce sur le territoire métropolitain montpelliérain.
Consciente de cette situation, la municipalité souhaite aujourd’hui mener une réflexion sur la capacité d’évolution de secteurs identifiés dans le village.
L’étude vise ainsi à élaborer un schéma directeur pour deux secteurs, définissant leur capacité d’évolution tout en permettant de conserver la qualité de vie, de maintenir une attractivité résidentielle, d’offrir des espaces publics de proximité favorisant la citoyenneté et le lien social, tout en répondant à des problématiques actuelles d’un point de vue énergétique et de développement durable.
L’étude vise à proposer une vision prospective de la transformation de l’ilôt Saint Claire, intégrée dans une opération de renouvellement urbain programmé, et dans une aire de valorisation de l’architecture et du patrimoine.
Les objectifs généraux de ce projet ont été de produire une nouvelle offre en logements, diversifiée et attractive, qui constituerait une vitrine de l’intervention volontariste en matière de recomposition urbaine.
L’ilôt Saint Claire est un grand îlot, enfermant un cœur d’ilôt planté et bâti. Sa morphologie urbaine de parcellaire en lanière, présente deux typologies, l’une plutôt urbaine le long de la rue commerçante Gabriel Péri et l’autre plus aérée et confidentielle le long des ruelles et impasses d’Emparis et Sainte Claire; induisant deux manières d’intervenir.
Les contraintes programmatiques étaient de préserver l’alignement des façades sur la rue Gabriel Péri, d’intégrer un relais assistance maternelle et une ludothèque sur la rue Gabriel Péri, de donner une place de stationnement par logement, et un espace extérieur pour chaque logement.